Les Émirats Arabes Unis et la République Dominicaine ont signé un accord de ciel ouvert au cours de la Conférence sur les Négociations Aériennes qui vient de se dérouler à Istanbul en Turquie.

L’accord a été signé par Saif Mohammed Al Suwaidi, directeur de la DGAC des Émirats Arabes Unis, et par Luis Rodríguez, président de la Junte d e l’Aviation Civile de la République Dominicaine.

Les représentants du Département des Transports d’Abu Dhabi, de l’Aviation Civile de Dubaï et des compagnies aériennes Emirates, Etihad Airways et Air Arabia.

Les deux délégations ont signé un accord qui ne prévoit aucune restriction quant au nombre de compagnies aériennes qui auront le droit de réaliser des vols réguliers.

La délégation des Émirats Arabes Unis a présenté Emirates Airline, Etihad Airways, RAK Airways, Air Arabia et FlyDubai comme étant leurs compagnies nationales qui entrent dans le cadre de cet accord.

De son côté, la délégation dominicaine n’a pas détaillé la liste des compagnies aériennes qui participeront à cet accord de ciel ouvert, se réservant le droit de les désigner le moment venu.

Cet accord de ciel ouvert permet aux deux parties de réaliser des vols sans restriction de fréquences, de capacité ou de type d’avions, qu’ils soient privés ou loués.

Les compagnies aériennes désignées par les deux parties pourront donc effectuer tout type de service, transport de passagers ou de fret, sur les routes entre la République Dominicaine et les Émirats Arabes Unis.

Ces accords de vols sans restriction s’accompagnent d’un autre accord évitant la double imposition sur les revenus générés par les compagnies aériennes et ceux gagnés par les employés sur le territoire de l’autre partie.

Par ailleurs, la délégation de la République Dominicaine a annoncé qu’elle appuyait la candidature des Émirats Arabes Unis au Conseil de l’OACI pour les élections qui se dérouleront en 2010 au cours de la prochaine Assemblée Générale de cet organisme.

Ces accords de ciel ouvert entre les Émirats Arabes Unis et la République Dominicaine démontrent une fois de plus la volonté des compagnies aériennes du Golfe de vouloir s’imposer sur le marché touristique.

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