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Voyage en Guyane



Forêts de la Guyane FrançaiseQuand on pense à la Guyane on imagine de grandes forêts tropicales, des indigènes navigant sur les rivières dans leurs pirogues tradtionnelles, une faune d'une très grande diversité au coeur d'une flore exceptionnelle, les orpailleurs tentant leur fortune au bord des cours d'eaux, la base de lancement de la fusée Ariane à Kourou ou le fameux bagne de Cayenne.

Avec près de 8 millions d'hectares de forêts tropicales, soit 96% de son territoire, la Guyane est une destination qui enchantera les amateurs d'écotourisme qui pourront découvrir les magnifiques réserves naturelles de Kaw, de l'Amana, des Nouragues, de la Trinité, de Trésor, du Grand Connétable ou le Parc Naturel Régional, des sites préservés où l'on pourra observer près de 200 espèces de mammifères, plus de 700 espèces d'oiseaux et de nombreuses autres espèces animales.

La Guyane, ce sont des excursions en pirogue, du trekking dans la forêt amazonienne, la découverte des tribus autochtones dans leurs villages traditionnels, la pêche en rivière ou en mer, des moments de détente sur les plages bordées de cocotiers, la dégustation de plats de la gastronomie locale, le tout dans une ambiance très proche de celle des Antilles grâce à la gentillesse de sa population.

Peuplée jadis par des tribus issues des groupes Arawak et Caraïbe, colonisée par les espagnols, les portugais, les anglais et les français, la Guyane est un véritable multing-pot de civilisations auxquelles se sont ajoutés les anciens esclaves noirs africains, les Hmong venus du Laos, ainsi que de nombreux travailleurs venus du Liban, de Chine, d'Indonésie, d'Inde et des pays voisins comme le Suriname et le Brésil, un métissage culturel qui est aussi un des trésors de ce pays étonnant.

Guyane : informations utiles

- Superficie : 1 098 581 km²
- Capitale : Cayenne
- Monnaie : Euro (1 € = 1.1223 Dollar US)
- Décalage horaire : - 5 heures en été, - 4 heures en hiver
- Horloge Parlante
- Santé : La Vaccination contre la Diphtérie, le Tétanos, la Polio et l'Hépatite A est fortement recommandée, et dans certains cas celle contre l'Hépatite Bn la Typhoïde et la Rage. Le Plaudisme est présent dans certaines régions de la Guyane et il faudra donc se protéger des moustiques et éventuellemnt prendre un traitement préventif en en discutant avec votre médecin
- Climat : Le climat de la Guyane est chaud et humide en raison de sa situation proche de l'équateur. Les températures sont stables tout au long de l'année et les pluies sont abondantes entre d'avril à août et de décembre à février
- Météo : Voir les températures
- Téléphone :
    France > Guyane : Numéro du correspondant à 10 chiffres (commençant par 05 94)
    Guyane > France : Numéro du correspondant à 10 chiffres
- Courant : 220 V - Prises aux normes françaises
- Formalités : Pas de Visa pour les ressortissants de l'Union Européenne qui peuvent rester 90 jours en Guyane
- Adresses utiles :
    Consulat Général du Brésil : 444, Chemin Saint Antoine 97337 Cayenne - Tél. : 594.296.010 (précédé de +594 depuis l'étranger)
    Consulat Général du Suriname : 3, Avenue Leopold Heder 97300 Cayenne - Tél. : 594.282.160 (précédé de +594 depuis l'étranger)
Consulat Général de Haïti : 12 Avenue Léopold Helder 97300 Cayenne - Tél. : 594.311.858 (précédé de +594 depuis l'étranger)
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Guyane : Informations touristiques

Que voir et que faire en Guyane ?

Nous vous proposons ci-dessous les attractions touristiques les plus importantes de ce département d'outre-mer que vous découvrirez dans les villes et les régions que nous vous recommandons de visiter lors de votre prochain voyage en Guyane. Pour chacun des lieux présentés dans cette liste vous découvrirez une présentation plus détaillée avec des renseignements pratiques pour tout savoir comment y aller, trouver un hébergement et surtout ne pas manquer les plus belles choses à voir.



Cayenne

Cayenne

Au bord de l'Océan Atlantique, entre la Rivière Mahury et la Rivière de Cayenne, la ville de Cayenne occupe une presqu'île avec Matoury et Remire-Montjoly, un ensemble géographique appelé "Île de Cayenne et qui regroupe plus de 40% de la population de la Guyane.

Si Christophe Colomb explora les côtes de la Guyane en 1498, ce n'est qu'en 1643 que la ville de Cayenne sera fondée par l’amiral Charles Poncet de Brétigny sur l'emplacement de terres appartenant aux indiens Galibi, le Mont Cépérou. Mais malgré la construction d'un fort, les colons français durent affronter les attaques des indigènes puis celles des anglais, des portugais et des hollandais avant de s'imposer définitivement en 1676. Avec la présence des jésuites, Cayenne commença alors à propspérer grâce aux plantations de cacao, de manioc, de coton et de café.

L'urbanisme actuel de Cayenne fut réalisé par l'architecte Sirdey en 1821 qui mit à contribution les prisonniers envoyés de France en Guyane. Le 15 octobre 1879 Cayenne sera officiellement créée mais en 1888 un vaste incendie ravagea la ville qui comptait de nombreuses maisons en bois.

Visiter Cayenne et ses alentours pourrait justifier un voyage en Guyane rien que pour en découvrir toutes ses richesses. La ville compte en effet de nombreux édifices coloniaux qui valent vraiment la visite, de belles places comme la Place des Palmiste ou la Place des Amandiers, la Cathédrale de Cayenne, le Canal de Laussat, le Marché Central, des plages et des îles comme celles du Salut qui accueillirent les premiers bagnes.

Aux alentours on visitera les communes de Remire-Montjoly, Matoury, Roura et Cacao, cette dernière ayant la particularité d'avoir accueilli des Hmong du Laos qui ont conservé une partie de leurs traditions et approvisionnent en fruits, légunes et fleurs le Marché de Cayenne.


Kourou

Kourou - Tour Dreyfus

A 60 kilomètres au nord-ouest de Cayenne, la ville de Kourou est reconnue mondialement pour la présence du Centre spatial guyanais situé à une quinzaine de kilomètres et d'où s'envolent les fusées Ariane poour mettre en orbite des satellites du monde entier.
Mais Kourou existait bien longtemps avant l'installation de l'Agence spatiale européenne. Située au bord de l'Océan Atlantique avec ses côtes envahies par la mangrove et offrant de belles plages bordées de cocotiers, la région de Kourou était peuplée jadis par les indiens Kali'na qui ont laissé leurs traces avec des pétroglyphes visibles sur le site des Roches Gravées près du mont Carapa.

C'est en 1500 que les européens aperçoivent les côtes de Kourou pour la première fois lors d'une expédition menée par Vicente Yañez Pinzon. Mais il faudra attendre 1645 pour que deux religieux décident de s'y installer et quelques années plus tard un relais est bâti à "Caourou", entre les forts de Sinnamary et Cayenne. Pendant longtemps, le site allait être occupé par les Jésuites qui'efforçaient d'évangéliser les indiens, mais la mission de Kourou allait être pratiquement abandonnée en 1762 suite à l'expulsion de cet ordre religieux. Malgré tout, les derniers occupant résistèrent en 1763 à une invasion dirigée par les anglais et la France décida alors de renforcer Kourou et la Guyane.

Le bourg de Kourou vécut ensuite paisiblement en se consacrant à l'élevage et aux cultures vivrières puis un canal fut creusé depuis le port pour faciliter le transport des marchandises à travers les marais.
En 1856 le bagne de Kourou est inauguré et les prisonniers sont utilisés pour des travaux agricoles. Les vestiges de ce bagne se trouvent près de la Plage des Roches, sur une presqu'île à l'embouchure de la rivière Kourou avec l'Océan Atlantique. On y verra la Tour Dreyfus qui porte le nom d'un de ses prisonniers les plus célèbres, les ruines du four et celles du vieux ponton.

De passage à Kourou on ne manquera pas non plus la visite du Centre Spatial Guayanais ainsi que la base de lancement de la fusée Soyouz sur le territoire de la commune voisine de Sinnamary. Dans touute cette région on pourra découvrir la faune qui habite la mangrove et la forêt tropicale, en particulier de nombreux ibis rouges sur les côtes.


Saint-Laurent du Maroni

Saint Laurent du Maroni

Située sur la rive droite du fleuve Maroni qui délimite la frontière entre la Guyane Française et le Suriname, Saint-Laurent du Maroni est la deuxième plus grande ville de ce département d'outre-mer. A 257 kilomètres à l'ouest de Cayenne et à peu de distance de l'embouchure du Maroni avec l'Océan Atlantique, Saint-Laurent du Maroni est une ville très cosmopolite avec la présence d'indigènes Kali'na, de Bushinengués (descendants des esclaves noirs), de Français de la métropole, mais aussi de Hmongs venus Laos et de Chine, d'Indiens, d'Haïtiens, de Surinamiens ou de Brésiliens.

Occupée jadis par les indiens Kali'na qui peuplaient le village de Kamalakuli, ces terres ont été colonisées par les européens à partir du 17ème siècle, ont servi de camp de bagne à vocation agricole pendant la Révolution Française, et ont attiré de nombreux chercheurs d'or avant que la commune de Saint-Laurent du Maroni ne soit fondée officiellement en 1858 par l'Amiral Auguste-Laurent Baudin, Gouverneur de la Guyane Française entre 1855 et 1859. Mais la création de la ville n'entraina pas la disparition du bagne, bien au contraire.

Connu sous le nom de "Camp de la Transportation", le bagne de Saint-Laurent du Maroni est un des sites les plus visités de la ville. Situé à proximité de l'actuel Port de Ferry qui conduit les voyageurs au Suriname en traversant le Maroni, ce bagne fut créé en 1858 et se composait de 12 bâtiments.
A 16 kilomètres au sud de Saint-Laurent, le village de Saint-Jean situé en face de l'île Portal sur le Maroni recevait les récidivistes qui n'avaient pas commis de fautes graves dans le Camp de la Rélégation. Dans ce camp les "relégués" n'étaient pas soumis aux travaux forcés et ils retrouvaient ensuite la liberté et avaient la possibilité de vivre dans la commune de leur choix.

Mais Saint-Laurent du Maroni ne se résume pas à son bagne; cette ville frontalière possède un certain charme avec ses édifices de style colonial et sa population chaleureuse composée de nombreuses ethnies.
Cette ambiance on la ressentira en se promenant sur le marché très coloré de Saint-Laurent, un marché situé autour de la Place Flore Lithaw et où sont exposés tous les fruits tropicaux de la région et les ingrédients qui entrent dans la composition des plats traditionnels de la cuisine chinoise, créole, Bushinengué ou Hmong.

A une douzaine de kilomètres au sud de Saint-Laurent, on se rendra au village Amérindien d'Espérance en prenant la Départementale D11 qui se dirige vers Saint-Jean. On pourra visiter aussi le village amérindien de Bigiston du côté surinamien du fleuve, l'île aux Lépreux qui accueillait les prisonniers atteints de la lèpre, et Albina au Suriname.
Plus au sud on fera une belle excursion vers les Chutes Voltaire avant de rejoindre Apatou sur les rives du Maroni.

En prenant la route de Mana au nord-est de Saint-Laurent, on fera une halte au Village des Artisans Noirs-Marrons situé à une vingtaine de kilomètres, puis on visitera le village Hmong de Javouhey, la petite commune de Mana à 40 kilomètres au nord de Saint-Laurent du Maroni et la Plage des Hattes.


Camopi

Camopi

A l'est de la Guyane, Camopi est un village isolé à la frontière du Brésil est accessible uniquement par avion ou en pirogue en remontant l'Oyapock depuis la villes de Saint-Georges de l'Oyapock. Peuplée à l'origine par les indiens Tekos (Emerillons) et Wayampi, Camopi est considérée comme la troisième plus grande commune de France en superficie, occupant 10 030 km² de forêts au sud-est de la Guyane, soit une superficie équivalente à celle de la Gironde. Mais sur cet immense territoire peu propice à la vie humaine, on y compte seulement 1 600 habitants.

Pour se rendre vers cette commune amérindienne isolée du monde, il faut savoir que vous devrez demander une autorisation préfectorale car son accés est réglementé pour préserver la tranquillité des indigènes qui y vivent.
Malgré ces restrictions, une certaine activité s'est développée autour de Camopi puisque l'Armée Française y a basé une caserne du 3ème régiment étranger d’infanterie chargé de contrôler la frontière brésilienne pour tenter de barrer la route aux chercheurs d'or clandestins venant du Brésil.

Les habitants de Camopi vivent de l'agriculture de subsistance et des allocations que versent l'Etat Français. Si le village a conservé son aspect traditionnel et peut-être une destination surprenante pour les touristes, il faut savoir que de nombreux indiens sont exploités par les orpailleurs brésiliens et que la prostitution est assez fréquente en raison de la présence de ces clandestins et des militaires.


Grand-Santi

Grand-Santi

Située sur la rive droite de la rivière Lawa à quelques kilomètres de sa confluence avec la rivière Tapanahony pour devenir le fleuve Maroni, Grand-Santi est une petite commune peuplée principalement par des Djukas, un sous-groupe de la population Bushinengué qui vit en Guyane.
A la frontière du Suriname, la commune et ses hanmeaux aux alentours comme Gaa Kaba, Grand Citron, Ana Kondé et Lioni, ont également reçu des surinamiens qui fuyaient la guerre civile dans leur pays dans les années 1980.

Commune paisible au bord de la rivière et à proximité du massif des Montagnes Françaises culminant à 522 mètres d'altitude, Grand-Santi attirera surtout ceux qui veulent découvrir la vie de tous les jours dans un village isolé de la forêt guyanaise.
Il n'y a en effet pas de route pour rejoindre Grand-Santi et c'est par avion depuis Cayenne, Saint-Laurent du Maroni et Maripasoula que l'on pourra rejoindre ce village, ou en navigant sur la rivière Lawa (ou le fleuve Maroni) depuis Papaïchton au sud ou Apatou au nord.

A Grand-Santi la population vit surtout de l'agriculture vivrière en cultivant le riz et le manioc, de la pêche en rivière, ou en se chargeant de ravitailler en pirogue les orpailleurs et les petits commerces des hameaux des environs.


Maripasoula

Maripasoula

Plus grande commune de France avec une superficie de 18 360 km², la population de Maripasoula atteint cependant à peine les 10 000 habitants. A titre de comparaison, la Région Île-de-France ne couvre que 12 000 km² pour une population de 12 millions d'habitants.
Il faut reconnaître que la notion de commune est un peu différente de celle que l'on connait en France métropolitaine puisque Maripasoula serait plus une division administrative recouvrant une grande partie du quart sud-ouest de la Guyane, ses 10 000 habitants se répartissant dans les différents villages disséminés sur ce territoire.

Au bord du Maroni, Maripasoula est une bourgade récente puisqu'elle fut fondée en 1947 par un créole connu sous le nom de Papachine qui la baptisa Maripa-Soula, ce qui signifie "le saut du palmier Maripa". Transformée en centre administratif en 1950 par le Préfet Robert Vignon, ce dernier deviendra le premier maire de Maripasoula en 1969 quand la bourgade fut élevée au rang de commune.
Peuplée principalement par des Boni (Bushinengués), on découvrira également à Maripasoula des habitants originaires des ethnies amérindiennes, mais aussi des créoles et des étrangers venus du Brésil, du Suriname et d'Haïti.

A l'écart du monde, Maripasoula n'est accessible que par avion depuis Cayenne, Saint-Laurent du Maroni, Grand-Santi, et Saül, ou en pirogue en navigant sur le Maroni. Au nord on ira visiter Papaïtchon et les Abattis Cottica en pirogue, et en direction du sud on découvrira les villages amérindiens qui tentent de préserver leur mode de vie ancestral.


Ouanary

Ouanary

Sur la rive gauche de la rivière Ouanary, à quelques kilomètres de l'embouchure avec la Baie de l'Oyapock, ce village du nord-est de la Guyane n'est accessible qu'après deux heures de pirogue depuis Saint-George de l'Oyapock, ce qui lui confère uen grande tranquillité.
Ouanary compte une centaine d'habitants seulement, et ce village perché sur les flancs d'une petite montagne à la végétation luxuriante offre une vue magnifique sur l'embouchure de l'Oyapock et la forêt tropicale.

C'est dans ce petit paradis que les Jésuites s'installèrent en 1738 pour évagéliser les indiens Yayo et Galibi, puis les colons français s'y implantèrent pour y cultiver la canne à sucre et le café en y faisant venir des esclaves noirs d'Afrique. Une grande plantation et sa rhumerie verra le jour au pied de la Montagne Lucas située en face de Ouanary, l'autre se développera au pied de la Montagne d'Argent.
Mais avec l'abollition de l'esclavage en 1848, la rhumerie dut fermer ses portes suite au manque de main d'oeuvre et les parcelles de terres furent données aux anciens esclaves.

Situé près de la Montagne d'Argent, le territoire de la commune de Ouanary ne fut cependant pas un paradis pour tout le monde puisqu'un bagne y fut créé en décembre 1852, les prisonniers étant affectés aux travaux dans les plantations de café.


Saint-Georges

Saint Georges

A la frontière du Brésil sur la rive gauche de l'Oyapock, Saint-Georges est une petite commune du nord-est de la Guyanne située à 185 kilomètres de Cayenne par la route Nationale 2. Depuis la construction de la route l'aérodrome qui permettait de recevoir des avions au départ de Cayenne n'est plus utilisé pour les vols réguliers.

Fondée le 23 avril 1853 par les bagnards qui avaient été envoyés dans la région pour remblayer les marais afin de construire une cité à la frontière brésilienne, la commune doit son nom à une pièce de monnaie hollandaise représentant Saint-Georges découverte par les prisonniers chargés des travaux.
En se promenant dans les différents quartiers de Saint-Georges on ne verra pas d'édifices exceptionnels comme dans certaines cités de la métropole française ou même à Cayenne. Par contre on sera séduit par l'architecture de la commune composée pour l'essentiel de 5 types d'habitat traditionnel comme la petite case créole, la grande case créole, le carbet palikur, la maison cabocle oyapoquoise et la maison brasiléo-caraïbe.

En navigant en pirogue sur l'Oyapock on pourra découvrir plusieurs villages comme Tampack peuplé par les Saramaca, un peuple descendant des anciens esclaves noirs marrons, le village amérindien de Trois Palétuviers, peuplé par une cinquantaine d'indiens Palikur, Maripa à partir duquel un sentier permet aux randonneurs de rejoindre une des plus belles attractions de la région : Saut Maripa.
Située en face de Saint-Georges, sur la rive droite de l'Oyapock, la ville brésilienne d'Oiapoque reçoit très souvent la visite des touristes qui veulent avoir un aperçu de la vie brésilienne.


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